Mon Watson à moi.
529/06/2013 par Thomas Fiera
J’ai parlé de « mourir en août », ce super polar qui vient de sortir et qui cause de mes potes et de votre humble (hahaha) serviteur.
En général le marketing provoque chez moi des démangeaisons et des spasmes du colon, mais là, je ne sais pas pourquoi, je ne suis pas hostile. Voire j’adhère. Voire.
Mais bon. C’est à cause de cet espèce de malade, le Ferrero là. Ce pignouf s’est mis en tête de devenir un genre de Watson en moins tarte. (Enfin ça c’est lui qui le dit).
Il va raconter mes « aventures ». Ecrire des bouquins sur ce ramassis d’emmerdes que je m’entête à appeler ma vie. Il a l’air de penser que cela pourrait intéresser quelqu’un. Et puis ça lui fait tellement plaisir le pauvre vieux.
Alors j’aide. Je soutiens. Je sponsorise.
Bref.
Il m’a demandé de raconter des trucs. De parler de mes potes.
Il parait aussi que bientôt vous pourrez lire des extraits de son prochain bouquin. Le fils prodigue ça va s’appeler.
Mouais.
Je suis trop bon.
[…] trois personnes) veut savoir à quoi ressemble Thomas Fiera. Alors l’autre là, le Ferrero (Mon Watson à moi), cossard comme pas deux, me refile le boulot au lieu de le faire […]
[…] Je vous ai déjà causé d’un certain Jean-Baptiste Ferrero ? Celui que j’appelle mon Watson à moi ? […]
[…] y a de cela quelques semaines j’ai dû, pour faire plaisir à Ferrero, mon Watson à moi, me farcir le voyage jusqu’au salon du livre de Limoges où je suppose que ce pauvre garçon […]
[…] il a fallu que je file un coup de main au gars Ferrero – mon Watson à moi – qui était excité comme une puce en chaleur à l’idée de raconter cette fameuse enquête […]
[…] savez tous que les romans tirés de mes enquêtes sont écrits par Jean-Baptiste Ferrero, mon Watson à moi, le dernier en date étant l’excellent « Banlieue Est » qu’il a publié chez Lajouanie, […]